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« Je suis quelqu’un de normal, je travaille toute l’année pour payer ma maison«
« Je suis en train de sourire, mais il y a 1 heure, j’étais en train de pleurer. Je suis au bout de ma vie. Ce matin je me suis réveillée, j’étais tellement heureuse, c’était la remise des clés de la maison. Je viens pour récupérer la maison et de là commence le périple ! S’il y avait eu un acheteur qui était passé pour acheter une maison, je lui aurais dit ‘achète-là, je n’en veux plus’. (…) Donc j’ai fait le virement ce matin, je leur ai donné le swift pour leur prouver que le paiement était effectué. Eux ne l’ont toujours pas reçu dans leur compte, déjà, premier problème » confie Sarah Fraisou.
« Deuxième problème : il faut mettre l’électricité et l’eau dans la maison avant d’y entrer. On me demande alors si j’ai déposé les chèques, car moi je fais un paiement-plan, tous les trois mois je paie une somme. Sauf que, les chèques, je les ai déposés dès le départ : ils sont où mes chèques ? (…) Bon ils retrouvent les chèques. Donc mon prochain paiement est dans deux mois et pas trois ! (…) ça vous met une boule au ventre qui est juste incroyable (…) Je ne suis pas là pour vous vendre du rêve. (…) Je suis quelqu’un de normal, je travaille toute l’année pour payer ma maison. Et là, je me dis que ça ne s’arrête jamais. Tout ce que j’avais organisé, ça tombe à l’eau (…) Je suis arrivée à un stade où je suis dégoutée de la maison. J’ai tellement souffert pour l’avoir, et je n’arrive pas à voir le bout du tunnel. C’est fatiguant de ouf » ajoute-t-elle.
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