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« Le mot pervers narcissique, c’est quelque chose de fort, mais il l’était »
« Ça vient de lui, c’est sa décision. […] Il a très bien fait de me quitter parce que effectivement le plus dur c’était de partir. Parce qu’au final maintenant, je suis mieux sans lui, je suis contente d’être sans lui. Au final il m’a fait comprendre qu’il ne changerait pas, qu’il continuerait à me tromper, et que le mieux c’était vraiment qu’on arrête la relation parce que ça ne servait plus à rien, ça ne rimait à rien. J’avais très très peur de ses réactions parce que c’est quelqu’un qui peut être partiellement gentil, mais qui peut être très con et très mauvais. Il suffisait d’un truc qui ne lui plaisait pas pour que j’en prenne plein la gueule comme jamais. Le mot pervers narcissique, c’est quelque chose de fort, mais il l’était. Ça m’a créé une sorte de carapace. Je n’arrive pas à me lâcher avec un mec. Je n’arrive pas à croire qu’un mec va pouvoir m’aimer, je n’arrive pas à croire qu’un mec va pouvoir être fidèle et sincère avec moi » confie Cassandra dans un entretien pour nos confrères de Gossip Room.
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