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L’ironie du sort. Quelques jours avant l’annonce du décès de Tim Bergling, plus connu sous le pseudo d’Avicii, Netflix mettait en ligne un documentaire édifiant sur le calvaire qu’il vivait derrière son apparent sourire…
« Avicii: Trues stories », voilà le nom du documentaire signé Netflix et qui fait littéralement froid dans le dos quand on sait qu’Avicii est décédé dans des circonstances gardées secrètes quelques jours après sa mise en ligne.
Tandis que jeanmarcmorandini.com nous dévoile les premières images de ce documentaire troublant, Le Parisien nous en révèle en partie le contenu, qu’il qualifie très justement de « quasi testamentaire »:
« (…) pendant 90 minutes, Avicii, pseudonyme inspiré du nom de l’enfer chez les bouddhistes, avait choisi de tout dire, de tout montrer. Il y a d’abord d’incroyables images d’archives de lui ado, commençant à travailler sur ses premières chansons dans sa chambre avec ses potes, puis la genèse de ses premiers tubes en direct. »
Ou encore « (…) les concerts incessants qui l’épuisent, l’alcool qui l’aide à tenir au point de lui ravager le pancréas, les séjours en clinique, l’annulation des shows les uns après les autres. Une caméra continue à filmer, les discussions avec les médecins dans sa chambre d’hôpital, les moments où le musicien s’effondre de fatigue, rongé par les maux d’estomac qui l’empêchent de dormir, les 20 pilules qu’il prend chaque jour. »
Un documentaire expliquant pourquoi il en est arrivé à décider de stopper les concerts en 2016… et qui nous éclaire peut-être quelque part sur sa fin tragique.